Kypséli - Oga et retour |
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Appréciation Durée
Description
de l' itinéraire (0h04) Nous empruntons le petit chemin herbu qui s’ouvre devant nous, mais aussitôt, à la hauteur du premier poteau électrique, nous devons prendre à DROITE un sentier rocailleux qui descend rapidement entre deux murs et des terrasses fleuries (printemps 2014). Le pavement inégal du sentier vers Oga.
Au bout de
quelques minutes, la marche se poursuit à plat.
Environ
4 à 5 minutes plus tard, on
tiendra la gauche à la bifurcation; le sentier, dallé en cet endroit, grimpe à
nouveau entre les murs.
(0h21) Viennent ensuite quelques virages serrés à gauche et à droite (la vue s’ouvre sur l’île d’Aegine et sur la colline de l’acropole), mais la végétation trop dense nous obligera bientôt à dévier sur la droite (cairn) et à entreprendre une descente malaisée de terrasse en terrasse en direction du chemin que nous distinguons dans le bas sur notre gauche. Vue vers Oga, avec Egine au fond.
Le passage d’une terrasse à
l’autre est loin d’être évident; nous avons placé des cairns aux
endroits les plus accessibles. (0h39)
Pour arriver à l’acropole, il faut ici prendre
à GAUCHE (flèche bleue sur
une pierre). A défaut de sentier, il
nous faudra longer d’abord la terrasse du haut, jusqu'à un petit jardin potager,
puis, il faut
continuer dans la même direction
(suivre les cairns).
Enfin, il nous faut entreprendre l’ascension
parfois difficile des terrasses supérieures pour arriver aux pieds de
l’acropole. (0h45) Contemporaine
de l’acropole de Palaiókastro, au sud de Megalochóri, l’acropole d’Oga est elle
aussi un vestige intéressant de la période mycénienne (1600-1200 av.J.-C.)
Un détail du mur impressionnant de l' acropole de Oga. |
Une vue aérienne de Oga - copyright Panoramio.
(0h45)
Nous retournons de la même manière jusqu'à l’abri à gauche duquel nous
pouvons emprunter le petit chemin herbu,
à gauche d' un figuier, lequel débouche 4
minutes plus tard (bétonné en cet endroit) sur l’asphalte. (0h49)
On retrouve
ici les petits poteaux jaunes qui balisent tout le tracé vers Kypséli, puis le
Profitis Ilías (promenade [2]). Il y a aussi une indication « Katsouna Ogas »,
mais il ne semble pas y avoir de sentier qui descende vers la côte… (0h49)
Nous revenons sur nos pas jusqu'à l’abri et prenons le sentier qui
s’ouvre devant nous entre deux murs. Après un virage à droite, il devient tout à
fait impraticable, encombré de végétation, et nous devons nous hisser par une
brèche (cairn) sur la première terrasse. La montée est
beaucoup plus difficile que la descente, faute de disposer d’une vue d’ensemble
des terrasses successives et de voir un objectif vers lequel s’orienter. C’est pourquoi nous
décrivons ici en détail la traversée de ce dédale de terrasses (une trentaine au
total, sur 1/4 d’heure environ) : - depuis la
1ère terrasse, grimper sur la 2e à droite d’un arbre; (1h05)
On peut se frayer un chemin à travers la broussaille pendant 5 à 6
minutes, après quoi on se voit contraint de dévier à nouveau : il faut escalader
le mur sur la gauche (cairn) et longer la terrasse plantée d’oliviers; on
montera encore de terrasse en terrasse tout en longeant le mur jusqu'à retrouver
le sentier (cairn). La végétation est encore dense en cet endroit mais après
trois doubles virages, on peut se dire que le plus dur est passé… (1h15)
Nous grimpons résolument pendant quelque 8 minutes jusqu’au sommet d’où
l’on voit la mer à nouveau ainsi que les maisons de Kypséli. (1h23)
Le sentier se faufile, confortable désormais, entre quelques terrasses
fertiles. Une dernière petite grimpette et nous voilà sur le chemin. Nous
prenons à gauche la petite rue bétonnée puis joliment dallée qui nous ramènera
au point de départ, sur l’asphalte, à
la hauteur de l’église
(1h40).
Pour
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